Une (espérons) bonne nouvelle : Le CENA lance une étude !

Voici le courrier que les éleveurs ont reçu. Espérons
1- que nous aurons accès aux résultats de l'étude
& 2- que le CENA en tirera les conclusions qui conviennent



Mais déjà, cette étude est une bonne chose ! Saluons l'initiative !

& si vous êtes éleveur , que vous avez été contacté, je vous encourage de tout cœur à participer à cette étude : c'est l'occasion d'en savoir un peu plus sur l'état du cheptel français et peut-être, sur les mesures à prendre.

Je n' ai pas réussi à avoir une ouverture de ce fichier correcte, je reste sur ma faim, une solution ...?

Oouh oui !! Beurk !! Tu as raison, ça s'est très mal archivé !
A lire en cliquant ici avant que je ne prenne le temps de recopier le texte...

Merci, ça va déjà mieux , ça confirme que je dois aller faire changer mes verres progressifs

Oui, c' est une bonne chose, cette race en vaut vraiment la peine !!

Eh ben... tout arrive...

Bonjour

Si j'ai bien lu; pour cette enquête, on pratique un "irm" avec anesthésie qui coute 120e.
Alors, pourquoi on m'a proposé de faire le même examen, pour un diagnostique, payé 400e?

Entre les 2 , il y a une sacrès marge, même si je conçois que le but n'est pas le même...

Mais bon, dois je me tromper, ou faire un amalgame peu approprié.

Plusieurs réponses à cela :

• Les tarifs vétérinaires sont libres & varient dans des proportions importantes de l'un à l'autre
  
• Il y a un effet "prix de groupe" : en monopolisant le matériel pour tout un groupe de chiens, il est amorti, pas de temps mort donc meilleure rentabilité & donc effet sur le tarif
  
• Il s'agit d'un projet de recherche au sein d'une école vétérinaire donc bénéficiant sûrement d'aides
  

en effet, j'avais bien compris.
Néanmoins, je crois que les animaux sont devenus "une entreprise" à part entière, et en particulier les chiens, qui sont au nombre de plusieurs millions dans notre pays.

On quantifie tous, de nos jours, tout doit être rentable, comme si la santé en faisait partie? Et encore plus celle de nos cheres petites têtes .

C'est un marché fleurissant, ou tout est permis; les margoulins sont à nos portes, reniflant les oportunités.


Alors on paye, on donne tout ce qu'on a, même des fois ce qu'on a pas, parcequ'on les adore, et le corporatisme des vétos le sait bien.

Je sais, je vais un peu à l'extrème, et au raccourci, mais c'est pour mettre l'accent sur le côté émotionnel lié au côté lucratif.

Mais je ne veux pas faire l'amalgame entre la recherche et la santé, même si les deux sont étroitement liées.